Quand les femmes dirigent le monde
C’est ainsi, il faut attendre la « journée internationale de la femme » pour que l’on s’occupe un peu de parité, d’égalité des sexes en droit, en salaire, en reconnaissance ; pour que l’on s’inquiète des violences faites aux femmes, de la scolarisation des jeunes filles, des infanticides. Enfin, pour que l’on zoome un peu sur les problèmes qui touchent… la moitié de l’humanité. D’accord, il vaut mieux ça que rien.