La vétérante Christine Sinclair dirigera l’équipe canadienne de la Coupe du monde de football féminin, qui tentera de poursuivre sur sa lancée après avoir remporté l’or aux Jeux olympiques. Sinclair, qui détient le record international de buts et a fait 323 apparitions internationales, participera à sa sixième Coupe du monde. La sélectionneuse Bev Priestman a fait l’éloge de l’équipe en déclarant : “C’est un excellent mélange de vétérans, de joueuses expérimentées et de nouvelles joueuses qui peuvent toutes apporter quelque chose de différent cet été.” L’équipe comprend Kadeisha Buchanan, trois fois Joueuse canadienne de l’année, et l’étoile montante Jessie Fleming. L’équipe compte six nouvelles venues, dont Olivia Smith, âgée de 18 ans. Le Canada, classé septième au monde, affrontera le Nigeria lors de son premier match le 21 juillet dans le groupe B.
L’article, écrit par “R” et publié par ESPN, souligne l’importance de l’inclusion de Sinclair dans l’équipe et son objectif de devenir la première joueuse à marquer dans six Coupes du monde différentes. L’Association canadienne de soccer a déclaré que l’âge moyen de l’équipe est de 27 ans, ce qui indique un équilibre entre l’expérience et la jeunesse. Cependant, l’équipe a dû faire face à des défis avant le tournoi, avec des joueuses clés comme Janine Beckie mises à l’écart en raison de blessures. De plus, dans le passé, le Canada a été éliminé par la Suède en huitième de finale de la Coupe du monde 2015.
Malgré ces obstacles, Priestman reste optimiste et reconnaît les contributions de toutes les joueuses, y compris celles qui n’ont pas fait partie de l’équipe finale en raison de blessures. Elle a déclaré : “Je suis naturellement dévastée pour les joueurs qui n’ont pas été retenus, en particulier en raison de blessures, mais je sais que tous les joueurs nous accompagneront dans notre voyage et qu’ils ont joué un rôle essentiel pour nous permettre d’arriver à ce stade”.
L’article mentionne également le conflit salarial entre les joueurs et leur fédération, qui a conduit au boycott d’un entraînement en février et à une menace de boycott d’un tournoi à quatre équipes. Cependant, les joueuses ont poursuivi leur préparation pour la Coupe du monde, déterminées à avoir un impact sur la scène internationale.
En conclusion, l’équipe féminine canadienne de la Coupe du monde, dirigée par la vétérante Christine Sinclair, est un mélange de joueuses expérimentées et de nouvelles venues prometteuses. Malgré les défis et les controverses qui l’entourent, l’équipe reste concentrée et déterminée à réussir le tournoi.