Le virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo (FHCC) se propage en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient, suscitant des inquiétudes quant à son impact potentiel sur la santé publique. Le virus, principalement transmis par les tiques, a un taux de mortalité allant de 10 à 40 %. Des cas de FHCC ont déjà été signalés en Espagne et au Pakistan, ce qui amène les experts à penser qu’il pourrait finir par apparaître au Royaume-Uni.
James Wood, responsable de la médecine vétérinaire à l’université de Cambridge, met en garde contre la possibilité que la FCCH s’introduise au Royaume-Uni en raison de la présence de tiques. Il souligne que la maladie s’étend au-delà de ses régions habituelles et progresse vers des pays comme la Grande-Bretagne et la France, en grande partie à cause des effets du changement climatique.
Face à l’urgence de la situation, le gouvernement a émis un avis sanitaire invitant les personnes à prendre des mesures préventives contre les tiques. Ces précautions comprennent le port de vêtements appropriés, tels que des manches longues et des pantalons, lorsque l’on se trouve dans des zones habitées par des tiques, ainsi que des vérifications approfondies des tiques après les activités de plein air.
La fièvre hémorragique de Crimée-Congo est une maladie transmise par les tiques qui a été initialement identifiée en Crimée en 1944. Depuis, elle s’est répandue dans diverses régions du monde, notamment en Europe de l’Est, en Afrique et au Moyen-Orient. Les symptômes de la FHCC sont la fièvre, les maux de tête, les douleurs musculaires et les saignements. Bien qu’il n’existe actuellement aucun traitement spécifique, un diagnostic et une intervention rapides peuvent augmenter les chances de survie.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les épidémies de fièvre hémorragique virale sévère sont causées par le virus de la FHCC, dont le taux de létalité varie de 10 à 40 %. La FHCC sévit en Afrique, dans les Balkans, au Moyen-Orient et dans les pays d’Asie situés en dessous du 50e parallèle nord, qui marque la limite géographique du porteur primaire de la tique.
Les principaux symptômes de la fièvre hémorragique chronique sont l’apparition soudaine de fièvre, de maux de tête, de douleurs dorsales, de douleurs articulaires, de maux d’estomac, de vomissements, de rougeur des yeux, de rougeur du visage, de rougeur de la gorge et de pétéchies (taches rouges) sur le palais. D’autres symptômes peuvent inclure la jaunisse, des changements d’humeur et de perception sensorielle dans les cas graves, et l’apparition de larges zones d’ecchymoses sévères, de saignements de nez sévères et de saignements incontrôlés aux points d’injection.
Les taux de mortalité chez les patients hospitalisés lors d’épidémies documentées de fièvre catarrhale du mouton varient de 9 à 50 %. Les effets à long terme et les complications spécifiques de l’infection par le FHCC chez les survivants restent peu étudiés, mais la guérison est généralement lente.
Les soins de soutien constituent le pilier du traitement de l’ICFH, y compris la surveillance méticuleuse de l’équilibre hydrique, le traitement des déséquilibres électrolytiques, la garantie d’une oxygénation adéquate et d’un soutien hémodynamique, et l’administration d’un traitement approprié pour les infections secondaires. Des études in vitro ont montré la sensibilité du virus de la FHCC à la ribavirine, un médicament antiviral, qui a été utilisé dans le traitement des patients atteints de FHCC et qui aurait eu des effets positifs.
Les professions exposées au risque d’infection par le virus de la fièvre catarrhale du mouton comprennent les éleveurs, les travailleurs du secteur de l’élevage et les travailleurs des abattoirs dans les zones endémiques. Les professionnels de la santé sont également exposés au risque d’infection par contact non protégé avec du sang et des fluides corporels infectieux, en particulier dans les zones endémiques. Les personnes en contact avec le bétail dans les régions endémiques, ainsi que les voyageurs internationaux visitant ces régions, sont également à risque.
Les mesures préventives contre la fièvre catarrhale du mouton comprennent l’utilisation de répulsifs contre les insectes, en particulier chez les travailleurs agricoles et les personnes travaillant avec des animaux. Les répulsifs contenant du DEET sont les plus efficaces pour repousser les tiques. Il est également important de porter des gants et d’autres vêtements de protection pour minimiser l’exposition aux tiques et l’infection potentielle. Les personnes doivent éviter tout contact avec le sang et les fluides corporels du bétail ou des humains présentant des symptômes de la maladie.
Les professionnels de la santé doivent respecter scrupuleusement les mesures de contrôle de l’infection afin d’éviter toute exposition professionnelle. Il existe un vaccin inactivé contre la fièvre catarrhale du mouton, utilisé à petite échelle en Europe de l’Est, mais aucun vaccin sûr et efficace n’est actuellement disponible pour l’homme. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour développer des vaccins potentiels et évaluer l’efficacité des options thérapeutiques.
En résumé, le virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo (FHCC) se propage en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient, ce qui suscite des inquiétudes quant à son impact potentiel sur la santé publique. Le gouvernement a émis un avis sanitaire invitant les personnes à prendre des mesures préventives contre les tiques. La FCASS est une maladie transmise par les tiques dont le taux de mortalité varie de 10 à 40 %. Les symptômes comprennent de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et des saignements. Il n’existe actuellement aucun traitement spécifique, mais un diagnostic et une intervention rapides peuvent augmenter les chances de survie. Les professions à risque d’exposition sont les éleveurs, les travailleurs du secteur de l’élevage et les travailleurs de la santé. Les mesures préventives comprennent l’utilisation d’insectifuges, le port de vêtements de protection et l’évitement de tout contact avec des personnes ou des animaux infectés. Il n’existe actuellement aucun vaccin sûr et efficace pour l’homme, et des recherches supplémentaires sont nécessaires pour développer des vaccins potentiels et évaluer les options de traitement.