out a commencé sur un groupe WhatsApp d’étudiants. Avec la réception de “ce genre de message qui vous demande de partager avec d’autres groupes si vous ne voulez pas que le malheur vous atteigne”, raconte Jamila au journal en ligne Premium Times. Cette étudiante appartenait au même groupe que Deborah Samuel, jeune fille lynchée pour blasphème jeudi 12 mai sur un campus du collège d’Éducation [enseignement supérieur] Shehu Shagara de l’État de Sokoto, au nord-ouest du Nigeria.
Selon le récit de Jamila, Deborah a répliqué dans un message audio que ce groupe WhatsApp était restreint à des posts sur des tests et devoirs. Elle aurait conclu : “Ce n’est pas pour que vous envoyiez des informations inutiles. Quel prophète ?”. SUITE