Pour la rentrée 2019, la baisse des candidatures issues du continent serait de l’ordre de 30 % à 50 %, selon la Conférence des présidents d’université.
Cette année, les étudiants africains sont bien moins nombreux à candidater dans des universités françaises. A quelques jours de la fin du dépôt des dossiers, c’est maintenant sûr. Le président du comité de communication de la Conférence des présidents d’université (CPU), François Germinet, estime la baisse générale des demandes d’étudiants africains « de l’ordre de 30 % à 50 % ». « C’est ce qui ressort des remontées de terrain de la part des présidents d’université à l’échelle nationale », pointe-t-il. A l’université de Cergy-Pontoise, qu’il préside, il enregistre une diminution d’environ 30 % des candidatures africaines. SUITE