La nouvelle année scolaire 2016-2017 pointe déjà le bout du nez. Une période difficile pour les parents qui se doivent d’inscrire leurs enfants à l’école. « Depuis quelques jours, je suis angoissé par le jour J, qui approche », affirme Israël Ogbou, qui dit avoir à scolariser 4 enfants dans le privé. N’ayant pas d’argent, ce père de famille espère voir un miracle se produire. Pour Madame Jacqueline Zadi, veuve, la rentrée des classes n’est pas à l’ordre du jour. « Je n’ai pas d’argent actuellement pour inscrire mes garçons. Donc je n’y pense pas», lâche-t-elle. Dans la famille Karamoko à Treichville, l’ambiance est plutôt relaxe. Depuis la mi-août 2016, des dispositions ont été prises pour régler la scolarité des 6 enfants, via le service « mobile money ». Quant aux fournitures et tenues scolaires, ils sont en cours d’achat. Suite