Dans un article intitulé “L’Afrique n’est pas sûre pour les personnes engagées dans des pratiques de corruption : Le président tanzanien Samia Suluhu Hassan a mis en garde contre les pratiques de corruption en Afrique dans un article intitulé “L’Afrique n’est pas un lieu sûr pour les personnes engagées dans des pratiques … – Xinhua”, publié par Xinhua. La présidente Hassan a souligné que l’Afrique n’est pas une cachette pour les individus corrompus et que s’engager dans des pratiques de corruption en Afrique revient à jouer avec le feu. Elle a également exprimé sa conviction que l’Afrique ne devrait pas être utilisée pour le blanchiment d’argent obtenu par la corruption. La présidente Hassan a fait ces remarques à Arusha, en Tanzanie, à l’occasion de la Journée africaine de lutte contre la corruption.
Alors que l’Afrique commémore le 20e anniversaire de l’adoption de la Convention de l’Union africaine sur la prévention et la lutte contre la corruption, la présidente Hassan a appelé ses homologues africains à s’unir dans la lutte contre la corruption, qui, selon elle, entrave le développement du continent. Elle a souligné l’importance d’une étroite collaboration entre les dirigeants africains dans cette lutte, car la corruption est un crime transnational. La présidente Hassan a déclaré : “La lutte contre la corruption devrait être considérée comme une libération pour le continent africain”, soulignant la nécessité d’une action collective.
La présidente Hassan a également exhorté les agences de lutte contre la corruption en Afrique et les autres parties prenantes à accélérer les efforts pour récupérer les biens acquis par la corruption. Elle a appelé à l’échange de suspects accusés de corruption et au partage d’informations sur les syndicats de corruption entre les pays africains.
Cet article met en lumière la présidente Samia Suluhu