La récente tentative du président Kais Saied d’atténuer le grave préjudice causé par son discours du 21 février 2023 aux migrants, demandeurs d’asile et réfugiés noirs africains en Tunisie ne va pas assez loin, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Les mesures annoncées le 5 mars sont bien en deçà des actions nécessaires pour mettre fin àla récente vague d’agressions violentes, de vols, d’actes de vandalisme commis par des citoyens tunisiens, d’expulsions arbitraires par des propriétaires et de licenciements abusifs par des employeurs depuis le discours de Saied. SUITE