Ils sont environ 50 000 étudiants étrangers à avoir profité de la prolongation de séjour de dix-huit mois que le gouvernement du Premier ministre Justin Trudeau leur avait proposé l’année dernière. Une mesure présentée comme un moyen d’“aider davantage de diplômés à combler des besoins urgents” dans certains secteurs d’activité et de leur permettre d’acquérir l’expérience professionnelle indispensable pour immigrer de façon permanente au Canada.
Mais un an et demi plus tard, certains de ces étudiants déchantent. Après l’expiration de leur permis de séjour, ils se retrouvent sans statut légal et dans l’impossibilité de travailler. Une situation qui compromet sérieusement leurs chances de décrocher un jour la résidence permanente, souligne Bloomberg. SUITE