L’Institut national supérieur des arts et de l’action culturelle (Insaac), célèbre école ivoirienne qui a formé de nombreux artistes africains de renom, fait peau neuve pour contribuer à la richesse nationale, tirée par le cacao.
Première économie de l’Uémoa (Union économique et monétaire ouest-africaine, 8 pays), le pays ne tire pas de dividendes de ses productions culturelles, qui dominent pourtant ce marché de 90 millions d’habitants.
“Le gouvernement a pris conscience de l’ampleur de l’économie culturelle et du niveau d’employabilité qu’offre le secteur des arts et de la culture”, assure le directeur de l’Insaac, Armand-Modeste Koffi Goran. SUITE