A l’heure où la mondialisation a fait du monde un village planétaire, l’Afrique se retrouve pris dans des violentes tempêtes qui l’étourdissent. Il s’agit entre autre du progrès. C’est pourquoi les africains ne désirent plus le subir mais le vivre ; Ils veulent aussi être chacun des outils du développement de leur continent. Qu’il y a t-il donc lieu de faire ? Est-ce une action collective ou individuelle qui s’impose ? Le développement n’est pas l’affaire d’une seule personne ou du moins du gouvernement uniquement mais celle de tous les individus, de tous les citoyens. Chacun à son niveau, qu’il soit enfant ou adulte, homme ou femme, infirme ou non a sa pierre à poser à l’édifice national. Afin donc d’assurer à mon cher pays un développement durable, visible et non virtuel, je me donne de tout cœur à des activités qui concourent à mon objectif ; mais le moyen le plus efficace pour moi reste de réussir ma vie scolaire et plus tard ma vie professionnelle.
Je compte donc améliorer les services de l’aviation dans mon pays vu que c’est dans ce domaine que j’envisage construire ma carrière. Ceci parce que l’aéronautique y est un secteur presque inexistant et pourtant il y a de nombreux jeunes camerounais qui y sont intéressés. Je désire donc donner à ces jeunes la possibilité de réaliser leurs rêves dans leur propre pays ; l’obstacle étant souvent la difficulté financière des familles à envoyer leurs enfants à l’Etranger. Je pourrais donc collaborer avec le gouvernement camerounais pour la création d’une école d’aéronautique sur nos terres et aussi redorer le blason de nos activités de transport aérien. En plus de ceci, mon combat vise la scolarisation des camerounais (fille comme garçon), la création des emplois ( ceci en attirant sur nos territoires les investisseurs étrangers et en encourageant l’initiative privée) et aussi la lutte contre la pauvreté ! Pour cela la nécessité d’une prise de conscience de chaque camerounais s’impose.
