Jusqu’à une date récente -récent progrès dû à l’heureuse intensification de la libéralisation menée,parfois depuis bien longtemps maintenant,par un nombre notable de Présidents libéraux africains-,le mémoire universitaire,en Afrique,reflétait très souvent en grande partie une vision et des références qui ne reflétaient pas toujours obligatoirement l’opinion personnelle de l’étudiant.L’étudiant mettait en lumière dans une grande partie de son mémoire un enseignement,une perception du Droit Internationale qu’on lui demandait d’assimiler mais non,en tout dans nos démocraties,de partager tous ses aspects,notamment les excès d’un regrettable anti-américanisme hérité d’une ideologie marxiste que,des millions de maîtrisards et anciens maîtrisards africains,dont moi-même,vous le diront,peu d’étudiants africains et d’africains tout court partageaient