Palmarès de l’Enseignement supérieur privé : Le groupe Loko se taille, encore, la part du lion
2007-08-17 04:41:53 – Fraternité Matin
Avec cinq établissements dans le Top 10 (EST Loko, William Ponty, Isfop Zone 4, ISTTA Loko et Isfop Optique)
Avec cinq établissements dans le Top 10 (EST Loko, William Ponty, Isfop Zone 4, ISTTA Loko et Isfop Optique) de la deuxième édition du classement des universités et établissements d’enseignement supérieur privé rendu public hier, le Groupe Loko surclasse une fois de plus ses concurrents du secteur et confirme son engagement constant pour la recherche de l’excellence. Le Groupe avait déjà réalisé la même performance, lors de la première édition, l’année dernière. Sur 162 établissements répertoriés, 142 ont reçu la visite des inspecteurs lors de cette deuxième édition. Trois prix d’excellence, 8 mention "Très bien", 18 mentions "Bien",
15 mentions "Assez bien" et 30 mentions "Moyen" ont sanctionné leurs travaux. Deux établissements du Groupe Loko (EST Loko et William Ponty) forment avec Agitel Formation le trio des élus au prix d’excellence. 95 établissements, en tout, auront été classés sur les 142 visités. Les autres ne l’ont pas été pour diverses raisons dont une ouverture parfois trop récente.
Au niveau des universités, 14 ont été inspectées sur un ensemble de 26 répertoriées, et 9 classées. L’Université catholique de l’Afrique de l’Ouest, avec une moyenne de 15,30 pointe en tête suivie de l’institut Celafe et de l’UIBA. Le non classement des autres découle parfois aussi d’une ouverture récente, mais surtout d’un refus d’inspection ou encore de leur inexistence sur le site indiqué. Ce dernier manquement coûtera aux établissements concernés le retrait de leur agrément, ont fait savoir les représentants du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique à la cérémonie de classement qui a eu pour cadre l’Ecole nationale supérieure de statistiques et de sciences appliquées (ENSEA), sise à l’Université de Cocody.
Le classement des établissements d’enseignement supérieur privé initié l’année dernière par le ministre Cissé Ibrahim Bacongo, s’est fait fort de rappeler le directeur de l’Enseignement supérieur privé, M. Diakité, découle du souci de l’Etat d’assainir ce secteur qui lui absorbe, chaque année plus de 25 milliards de francs en terme d’étudiants pris en charge, mais dont " la qualité de l’enseignement laisse toujours à désirer ". Le ministre était représenté par son directeur de cabinet adjoint, le Pr Abdou Karamoko.
Elvis Kodjo