Quelques références :
1. Banque mondiale, ‘Construire les sociétés du savoir : nouveaux défis pour l’enseignement supérieur’, Banque mondiale, Washington, D.C., 2002.
Ce rapport enquête sur les contributions de l’enseignement supérieur à la croissance économique et au progrès social dans le monde en développement et établit que la participation à l’enseignement supérieur est essentielle au développement tant des communautés que des nations. Le rapport illustre, preuves à l’appui, les inégalités persistantes entre les sexes sur le plan de l’inscription et explore le rôle de la Banque mondiale et d’autres institutions du développement pour ce qui est d’aider à ouvrir l’accès à l’enseignement supérieur.
http://www1.worldbank.org/education/…0Societies.pdf
2. Groupe de travail sur l’enseignement supérieur et la société, Banque mondiale, enseignement supérieur dans les pays en développement, ‘Higher Education in Developing Countries: Peril and promise’, Banque mondiale, Washington, D.C., 2000.
Cette publication analyse les capacités des pays en développement à soutenir la concurrence au sein d’une « économie fondée sur le savoir », ainsi que les raisons pour lesquelles le développement durable nécessite des compétences résultant d’un niveau élevé d’instruction. Le rapport identifie les principaux obstacles à l’inscription dans les établissements d’enseignement supérieur dans les pays en développement et propose des solutions dans les domaines qui ont historiquement reçu peu d’attention comme la gouvernance, la recherche scientifique et technologique, l’intérêt public et l’investissement dans l’enseignement secondaire et supérieur. Ce rapport comprend une section consacrée aux femmes et autres groupes désavantagés.
http://www-wds.worldbank.org/servlet…multi_page.pdf
3. Subbarao, K., et al.,’ Women in Higher Education: Progress, constraints, and promising initiatives’, Banque mondiale, Washington, D.C., 1994.
Cette étude s’interroge sur la question de savoir si les femmes dans les pays en développement s’inscrivent davantage dans les établissements d’enseignement supérieur depuis les années 1970, ainsi que sur les facteurs qui les ont incitées à inscrire. Le constat est que l’augmentation du nombre de femmes inscrites pourrait induire en erreur, étant donné qu’elles ne sont bien représentées qu’en lettres et dans les programmes techniques. L’étude relève qu’il existe de rares exemples d’interventions réussies. Elle propose cependant des stratégies multiples destinées à pousser les femmes à faire des études supérieures, en liant par exemple l’enseignement supérieur aux perspectives d’emploi.
4. Dundar, Halil and Jennifer Haworth, ‘Improving Women’s Access to Higher Education: A review of World Bank project experience’, Banque mondiale, Washington, D.C., 1993.
Cet article évalue l’expérience du projet de la Banque mondiale destiné à améliorer l’accès des femmes à l’enseignement supérieur. Les auteurs concluent que l’approche la plus réussie permettant aux femmes d’avoir accès à l’enseignement supérieur nécessite l’adaptation des programmes d’éducation au marché du travail. Les interventions sont surtout efficaces dans le cas d’une forte demande en faveur de femmes éduquées sur le marché du travail, d’une forte demande dans le privé en vue d’un niveau élevé d’instruction et lorsqu’on peut démontrer clairement l’existence d’un lien entre les programmes d’éducation et les exigences du marché du travail.
http://www-wds.worldbank.org/servlet…multi_page.pdf