Comment il compte contribuer au développement de son pays

4. Comment comptez-vous contribuer au développement de votre pays ?

L’atteinte de état de bien être par les populations d’un Etat donné, contribue très souvent à la qualification de cet état de pays développé. Ainsi, par développement d’un pays, nous entendons le regroupement de certains indices clés tels que le niveau de vie, l’état de droit, et des libertés fondamentales au-delà d’un seuil critique fixé par les organisations internationales comme le FAO (Fonds des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture), l’UNESCO (Fonds des Nations Unies pour l’Education la Science et la Culture) et l’ONU (Organisation des Nations Unies),pour ne citer que ceux-ci. D’où le problème de l’implication personnel de tout citoyen de participer à l’amélioration des conditions de vie dans leur pays.

Ma contribution au développement de mon pays, le Cameroun, s’analyse par une évolution positive dans trois secteurs à savoir :le secteur social, le secteur économique et le secteur politique. Pour ma part je compte participer activement au développement social du Cameroun.

En ce qui concerne le secteur politique, j’exhorterai tout simplement les politiciens chaque fois qu’il me sera possible à défendre les intérêts nationaux convergents et non leurs intérêts personnels divergents.

Pour le secteur économique, nous pensons que le Cameroun est sur une bonne lancée avec les grands chantiers entamés par le gouvernement dans le domaine hydroélectrique notamment avec la construction du chantier navale de Limbé et les projets de constructions des barrages de Lom Paggar et de Memvelé et de la centrale de gaz de Kribi, car l’énergie est prioritaire pour l’implantation des industries. A tout cela le gouvernement camerounais devrait maîtriser l’inflation sans galopante et avoir une politique fiscale plus souple. Puisqu’à cause des impôts accablants, non seulement plusieurs sociétés ont déjà fait faillite. Mais aussi cette politique fiscale n’encourage pas les investisseurs étrangers à s’implanter sur notre territoire.

Sur le plan social, nous envisageons participer pleinement à des actions humanitaires telles que :
-L’assistance aux jeunes désœuvrés, les orphelins car c’est cette jeunesse qui est l’avenir du pays et qui mal encadré, peut constituer un obstacle à tout projet de développement.
-La lutte contre les fléaux qui minent la société camerounaise à l’exemple de la délinquance juvénile, du tabagisme, la prostitution. Parce que le Cameroun pour se développer a besoin d’une jeunesse dynamique, une jeunesse saine en bonne état de santé et de moralité.
-La lutte contre la pauvreté, nous la vivons au quotidien pour notre part, elle est d’avantage morale que matérielle. Donc les populations elles mêmes doivent déjà la surmonter cette pauvreté morale avant que la pauvreté matérielle soit enrayée.
-Enfin, je mettrai l’accent sur la lutte pour la préservation de l’environnement. Je milite déjà au sein d’un club environnemental du Lycée Général Leclerc de Yaoundé, donc je suis le président. Si j’ai aussi choisi la préservation de l’environnement, c’est pour contribuer à la sensibilisation des populations. En effet, la ville de Yaoundé où je réside, est très souvent menacée par les problèmes d’inondations. On se souvient encore des inondations sans cesse récurrentes à Yaoundé au niveau de la poste centrale lors des saisons de pluies et également aux épidémies de choléra dont sont victimes les populations, celles de la ville de Douala en particulier. Ces inondations sont dues au déversement anarchique des ordures ménagères dans les caniveaux par les populations. Ceux-ci bouchent alors les caniveaux. Pour réussir à ce défit, nous du club environnemental du Lycée Général Leclerc, nous organisons régulièrement des portes ouvertes dans le soucis de sensibiliser nos camarades et enseignants sur les comportements à observer vis-à-vis de l’environnement dans le but non seulement de léguer aux générations avenirs un environnement sain, mais de préserver l’environnement également l’environnement dans lequel nous vivons.

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