Cameroun – Etudier en France: Les secrets de l’obtention du visa
Les nouvelles stratégies d’octroi du sésame au menu d’une conférence à l’IAI-Cameroun mardi dernier.
«L’octroi des visas pour des études en France : ce qu’il faut savoir ». Tel est le thème de la conférence que Michel Seguy, Consul général de l’ambassade de France au Cameroun a donnée mardi dernier au campus de l’IAI-Cameroun, en compagnie de Corinne Imbert, responsable du service des visas. C’était en présence du Directeur Général de l’ENAM, Benoît Ndong Soumeth et de nombreux responsables et étudiants des universités et grandes écoles à l’instar de l’Université de Yaoundé II et de l’Institut des Relations internationales du Cameroun (IRIC).
Le choix du campus de l’IAI-Cameroun, pour cette communication des diplomates français ne relevait pas du hasard, au regard de la forte présence des anciens étudiants de l’IAI-Cameroun qui poursuivent brillamment leurs études dans les universités françaises et des sollicitations sans cesse croissantes des étudiants finissants qui postulent pour des Masters dans des universités françaises partenaires de l’IAI-Cameroun, à l’exemple de l’ULP de Strasbourg, des Universités de Versailles, Belfort et Angers.
Au travers des échanges qui ont succédé les exposés des deux intervenants, l’auditoire a été imprégné sur les nouvelles procédures de gestion des flux migratoires qui accordent malgré tout une place de choix aux étudiants qui n’auront plus désormais besoin de rendez-vous. Deux démarches s’offrent alors à eux, avec une première auprès du campus France qui examine le cursus académique et le projet personnel. La seconde, consulaire, traite des pièces à fournir. L’on notera d’ailleurs que 83% de visas sont accordés sur l’ensemble des demandes des étudiants camerounais.
Occasion pour le représentant résident de l’IAI-Cameroun, Armand Claude Abanda, de remercier l’hôte du jour non seulement pour la tenue de cette conférence. Mais aussi pour toutes les multiples facilités accordées à ses étudiants et personnels.
JNM
11 juin 2009
Source: http://www.cameroon-tribune.net
