SORMA José âgée de 30 ans et BOZIES Jolina âgée de 26 ans ont été interpellées jeudi par un gendarme dans l’enceinte du palais présidentiel du département de l’Océan à Kribi.Ces jeunes Hollandaises sont arrivées au Cameroun dans le cadre d’une coopération médicale avec un partenaire privé à Limbé une ville de la province du Sud-ouest. Elles sont parties de Limbé pour séjournée au bord de l’Océan Atlantique à la cote Camerounaise dans la ville de Kribi.
Dans la journée de jeudi 19 mars 2009, elles sont sorties de leur chambre pour se détendre au large de l’océan tout en ignorant que le Palais Présidentiel se trouvait à quelque mètre seulement delà. Fuyant les vagues qui venaient progressivement, elles ont grimpées sur des rochets qui borde le long du mur de la Présidence et ont traversées la clôture toutes naïves. C’est alors qu’elles ont été interpellées par un gendarme de garde qui les a conduit à la compagnie de gendarmerie de Kribi ou une enquête a été immédiatement ouverte.
Notre équipe s’est rendue vendredi à Kribi pour les apportés une assistance morale. Y étant, nous avons rencontré l’un des adjoint du commandant de la brigade ter de Kribi qui à avoué qu’un cas du genre est pendant dans leur unité et qu’un de ces collaborateurs est chargé des enquêtes préliminaires. Malheureusement ce dernier était absent de son bureau ainsi que le commandant de compagnie habilitée à nous indiquée le lieu de résidence de ces dernières.
Les premières informations recueillies nous amènes à comprendre qu’il y a eu violation de la loi, notamment les dispositions de l’article 116 alinéas 3 et 4 du nouveau code de procédure pénale qui dispose que l’officier de police judiciaire est tenu, dès l’ouverture de l’enquête préliminaire et, à peine de nullité, d’informer le suspect de son droit de se faire assister d’un conseil, de son droit de garder silence,mention de cette information doit être faite au procès-verbal.
Malgré notre volonté de rencontrer ces dernières pour un entretien et dans le but d’avoir plus ample information, nous avons fait le tour d’une dizaine d’hôtel à leur recherche en vain. C’est à l’hôtel KIENKE qu’une dame a pu joindre au téléphone l’une des connaissances du président du Tribunal qui est venu nous aider à prendre attache du commissaire spécial qui a bien voulu nous indiquer l’hôtel ou logeait les deux Hollandaises ceci au environ de 17 heures 30 minutes.
Arrivé dans cet hôtel, nous avons rencontrer le responsable des lieux qui nous a accueilli très gentiment tout en précisant que ces jeunes dames logeait dans son hôtel et qu’elles sont parties aux environs de 14 heures pour Douala sur l’escorte des gendarmes pour leur retour en Europe.
Il a également déploré le comportement des autorités administratives qui ont mal interprété l’affaire et qui sont allé vite en besogne en plaçant en garde a vue ces clients, en confisquant leur appareil photo. Qu’une coalition des forces de sécurité ont fouillés de fond en combe leur chambre et ont également confisquer leur passeport.
A l’heure que nous vous communiquons ce rapport, SORMA José et BOZIES Jolina sont rentrées en possession de leur appareil photo et autres et ont embarqué ce vendredi 20 mars 2009 à l’aéroport international de Douala à destination de l’Europe.
© Correspondance : Geremy Tchinda, Président de la Ligue camerounaise des droits humains Paru le 23-03-2009 12:50:47
Koubassikou
ca c’est le cameroun des crabes d’okola ca. du n’importe quoi.
le patriote> > > > > > > > > > > dit leur qu’ici en angleterre on va meme se filmer dans l’enceinte de buckingham palace le palais de la reine et on ne nous inquiete pas
crabe pardon il faut conseiller to frere tchop blood pot popol car ca c’est humilier le cameroun ca Kontrario
Germany > > > > > eux aussi peuvent-ils être victimes…..?
il … [lire la suite]
Source : Camer.be