Bourses et visas d’études aux USA : Bréviaire pour les futurs candidats
Dans le cadre des activités de la Semaine internationale de l’éducation (du 17 au 21 novembre 2008), le Centre culturel américain a organisé hier une conférence de presse pour entretenir les journalistes sur les conditions d’octroi de bourses (Fulbright, Humprhey) et d’études aux USA. C’est la consul des USA au Burkina Faso, Wossie Mazengia, qui s’est attelé à cette tâche, suivie de séances de démonstration pour les étudiants.
Chaque année, et ce, depuis 2000 donc, près de 100 pays célèbrent dans le monde entier la semaine internationale de l’éducation. C’est des jours au cours desquels, a rappelé la Consul américaine, sont mis en relief les échanges universitaires et les partages culturels à travers le monde.
Les USA offrent chaque fois des opportunités de bourses pour aller étudier chez l’Oncle Sam, notamment avec les programmes Fulbright, Humprhrey et visiteurs internationaux.
Pour l’occasion, le Centre culturel a insisté sur le fait qu’il offre une multitude d’informations sur les procédures et les conditions d’octroi de bourses d’études en Amérique. "Il faut utiliser les ressources du Centre culturel américain pour rechercher des bourses d’études pour les USA", a plusieurs fois répété Wossie Mazengia au cours de la conférence de presse.
Et pour ce faire, le Centre dispose de dépliants, organise des sessions d’informations, et mieux, dispose de conseillers qui sont présents pour informer les candidats aux études pour les USA, notamment Yolande Kaboré, assistante culturelle et Binta Moyaki, conseillère en éducation. Quid des conditions d’octroi de bourses ?
"Il y a d’abord la sélection sur dossier, ensuite l’interview, le test en anglais et enfin la sélection définitive aux USA", a répondu Yolande Kaboré. Pourquoi les USA ne mettent-ils pas à la disposition des universités burkinabè des bourses pour qu’elles les attribuent aux étudiants ?
"Parce que ces bourses sont gérées par le département d’Etat américain, et relève du domaine culturel. Ensuite, les bourses sont compétitives, il y a une commission qui siège aux USA pour la sélection définitive qui concerne le monde entier, et enfin il y a la langue".
La Consul a également insisté sur la clarté des documents et l’efficacité dans les recherches des meilleures conditions pour étudier aux USA. Il faut par exemple pour ceux qui n’ont pas de bourse et qui veulent y aller de prouver qu’on peut se prendre en charge financièrement la 1ère année, et qu’on a un projet clair.
Les conférencières de l’après-midi d’hier ont aussi mis en avant le fait que ces bourses octroyées entrent dans le cadre des échanges culturels et il y a la notion d’ambassadeur qui entre en ligne de compte : autant les Burkinabè qui vont aux USA sont des "vendeurs du Burkina", autant les Américains qui viennent au Faso le sont aussi.
Le nombre de Burkinabè qui sont allés étudier aux USA est allé croissant : 339 en 2006, 423 en 2007 et 514 en 2008. Enfin en rappel, en plus de cette conférence de presse un film sera projeté prochainement, toujours dans le cadre de cette semaine internationale.
Z. Dieudonné Zoungrana
L’Observateur Paalga
18/11/08
KIEMDE
well
BIRBA
I want my inscription at fulbright for post doctorat on jounalist in usembassy of burkina faso please can you help my
.
Bassane Francis
Hello ! I’m a mechanical in machinery and automobile and i want to sollicit a schoolarship to continue my studies in your country.My last level is bacalaureat and i live in Burkina.Sincerly !
Belem Abdoul Latif
Aye.!! I’m a new bachelor in computable. I leave in Burkina Faso, i want sollicity to continue my study in ours country. Fine things you.!